lundi 16 juillet 2007

Une période de transition (suite)

Je n'ai jamais fait de soudure à mon compte la période du permis de conduire étant trop longue, la direction a mit un soudeur possédant le permis.
Nous avons acheté une ami8 presque foutue dont nous n'avons payé qu'une traite ou deux le vendeur étant un escroc c'est retrouvé en prison et nous n'avons plus jamais entendu parler de rien.
La deuxième voiture était une renault6 neuve J'ai glissé sur une plaque de verglas et me suis retrouvé neuf mètre plus bas, dans un jardin, inconscient mais en vie, il ne m'a fallu que quelques minutes pour me réveillé, les propriétaires du jardin ont appelé les secours, les pompiers me cherchaient car je commençais à remonter en direction de la route ils m'ont ouvert la porte de l'ambulance c'est tout ce que je me rappel c'est que je me suis réveillé à l'hôpital.
Après dix jours d'observation pour traumatisme crânien, un genou amoché( il avait heurté une tablette de rangement) les côtes fêlées par la ceinture de sécurité nous avons fait le bilan ma femme et moi, elle supportait de moins en moins le climat froid de l'es, moi de mon coté je ne me plaisais pas tellement dans ce travail de voie ferrée j'ai décidé de reprendre mon travail dans le bâtiment, nous avons décidé d'un commun accord de nous installer à Marseille.
Le décès de ma mère a précipité les choses je suis parti en premier chez ma soeur le temps de trouver un appartement, ma femme est restée à Lunéville pour terminer la période scolaire des enfants.
L'enterrement et son lot de peines terminé, il a bien fallu trouver du travail, la première maison d'intérim venue fut la bonne, la personne au bout du fil me donnait rendez-vous lendemain matin au garage Mercédez dans la zone industrielle de Vitrole.
Pour la première journée mon beau-frère m'a accompagné pour me montrer le chemin, je me suis retrouvé face à l'employé de l'agence et au patron de l'entreprise.
Mon travail consistait à construire une fosse en béton armé de vidange graissage pour les camions avec le patron le courant est passé tout de suite, au bout de deux semaines je lui ai demandé si il pouvait m'embaucher comme on dit maintenant en C-D-I il a accepté, je me suis retrouvé embauché définitivement.
L'entente entre le patron et moi était au beau fixe il nous arrivait même, toujours dans le respect de plaisanter, nous avions même échangé des goûts sur le travail c'est comme cela que je suis venu à lui parler de mon amour pour la pierre et que mon rêve eu été de travailler dans les monuments historique.
Les mois ont passés, les heures ajoutées aux embouteillages faisaient que je rentrait de plus en plus tard à la maison, comme je ne voulais pas reproduire la même chose qu'à Luneville j'ai décidé de travailler sur Marseille et j'ai demandé mon compte.

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