lundi 16 juillet 2007

Mes pèripéties (suite)

La fenêtre ouverte au premier étage est la chambre que m'avais laissé mes beaux parents lorsque j'ai été démobilisé. Cette deuxième anecdote aurais pu me coûter le T-M j'étais encore militaire et nous étions en temps de guerre. Je ne me souviens plus pour quelle fête s'était nous ne sortions pas cette nuit là, toujours est-il que je me trouvais encore chez mes beau parents, il y avait la famille, des amis dont le major ben Azrard, la fête battais son plein et comme il était tard j'ai été dans l'obligation de dormir chez eux. Sur le matin branle bas de combat, on sonne à la porte s'était le chauffeur du commandant qui venait me chercher envoyé par le major, six ou sept harkis venaient de déserter avec leur arme, heureusement que tout le monde était au courant que je fréquentais, cette petite escapade ma value la peine symbolique de huit jour de prison. En bas le même bâtiment pris sous un autre angle, cette photo a trois semaines elle a été ramenée de vacance par une amie ( aujourd'hui nous sommes le 13 juillet 2007)

Aucun commentaire: